Biographie

Audrey PHIBEL alias ATADJA LÈWA, est un artiste-auteur, plasticien et performeur. Né aux Abymes en Guadeloupe, il vit et travaille en Martinique. Diplômé de l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy, (ENSAPC) et de l’Institut Régional d’Arts Visuels (IRAVM), actuel Campus Caribéen des Arts en Martinique. En 2004, il réalise un échange Erasmus aux Beaux Art de Paris au sein de l’Atelier d’Emmanuel Saulnier. Par la suite, il complète son cursus en ingénierie de projet culturel à l’EAC Paris.

Expositions

2017

FIAP Festival International d’Art Performance Martinique

Echos Imprévus / Turning Tide, exposition collective, Mémorial ACTe
(Artiste intervenant et Médiation au cœur de l’exposition)

Déplacement #1, Congo Brazzaville

2016

Déplacement #2, Guinée Conakry

2014-2015

Itinérances, Performance 

2013

« Intimacy », Saavy Gallery, Berlin 

2010

« Suddenly last summer », residence d’artistes, Beauchery Saint-Martin

« All roads lead to », Atelier 22, Pantin

« Intimité », Galerie Trégniac-projet, Trégniac, Corrèze
Sous la latitude de Maubuisson Abbaye de Maubuisson, Carlos Castillo 

2009

« Art Bémao », exposition collective, ville de Baie-Mahault Guadeloupe

« Artistes, Actions, Haïti », Ministère de la Culture, Paris

« Déplacement », exposition collective sous la direction de l’artiste ORLAN Belgique

Performeur sous la direction de Jacques Albert, Grand Palais (FIAC)

Performance sous la direction de Tomeo Verges, Abbaye de Maubuisson 

2007

« Monde codifié » – Samuel NJAKWA, Douala, Cameroun

2006

« Opening », exposition collective, Atelier 44, Chevilly-Larue,

2005

« Boulev’Art » – Dominique Zinkpé, résidence et performance, Cotonou, Bénin

Il propose une déambulation archipélique incluant
Marie-Galante, La Désirade
et plus tard Les Saintes,
qui nourrira une installation
prévue les 13 et 14 février 2023
à Grande Anse – Gros Morne, constituée de mats, du haut desquels seront érigés des pavillons flottants au gré du vent.
Sur ces pavillons seront inscrits
les coordonnées GPS ou des QR Codes relatifs à leurs lieux d’implantation. L’œuvre globale
se positionne par rapport
à des lieux, des récits situés,
dans leur rapport
à l’environnement.

Cette série d’expérimentations en résidence d’écriture et de création donne ainsi lieu à cette performance entre arts vivants et art contemporain. Un travail d’écriture, lié à l’histoire de chaque lieu sera décliné dans un journal, ce qui prolonge les perspectives de son travail au-delà des restitutions dans la présente résidence.

Ce projet se déploie en rhizomes vers une œuvre d’art totale.

Il propose une déambulation archipélique incluant Marie-Galante, La Désirade et plus tard Les Saintes, qui nourrira une installation prévue les 13 et 14 février 2023 à Grande Anse – Gros Morne, constituée de mats, du haut desquels seront érigés des pavillons flottants au gré du vent. Sur ces pavillons seront inscrits les coordonnées GPS ou des QR Codes relatifs à leurs lieux d’implantation. L’œuvre globale se positionne par rapport à des lieux, des récits situés, dans leur rapport à l’environnement,

Ce titre insolite, nous appelle autant qu’il nous interpelle. L’art est toujours le laboratoire des esthétiques les plus innovantes. Ce à quoi nous sommes conviés à l’excellence des pratiques culturelles expérimentales. Elles décloisonnent les frontières des différentes disciplines pour proposer des passerelles improbables, des mélanges inattendus, et fondre le tout en un dialogue fécond dans lequel sont invitées les formes les plus audacieuses. Cela engendre des espaces inhabituels, d’étranges combinaisons, qui sollicitent la diversité des créations et des questionnements des arts.

Il propose une déambulation archipélique incluant
Marie-Galante, La Désirade
et plus tard Les Saintes,
qui nourrira une installation
prévue les 13 et 14 février 2023
à Grande Anse – Gros Morne, constituée de mats, du haut desquels seront érigés des pavillons flottants au gré du vent.
Sur ces pavillons seront inscrits
les coordonnées GPS ou des QR Codes relatifs à leurs lieux d’implantation. L’œuvre globale
se positionne par rapport
à des lieux, des récits situés,
dans leur rapport
à l’environnement.

Cette série d’expérimentations en résidence d’écriture et de création donne ainsi lieu à cette performance entre arts vivants et art contemporain. Un travail d’écriture, lié à l’histoire de chaque lieu sera décliné dans un journal, ce qui prolonge les perspectives de son travail au-delà des restitutions dans la présente résidence.

Ce projet se déploie en rhizomes vers une œuvre d’art totale.

Il propose une déambulation archipélique incluant Marie-Galante, La Désirade et plus tard Les Saintes, qui nourrira une installation prévue les 13 et 14 février 2023 à Grande Anse – Gros Morne, constituée de mats, du haut desquels seront érigés des pavillons flottants au gré du vent. Sur ces pavillons seront inscrits les coordonnées GPS ou des QR Codes relatifs à leurs lieux d’implantation. L’œuvre globale se positionne par rapport à des lieux, des récits situés, dans leur rapport à l’environnement,

Ce titre insolite, nous appelle autant qu’il nous interpelle. L’art est toujours le laboratoire des esthétiques les plus innovantes. Ce à quoi nous sommes conviés à l’excellence des pratiques culturelles expérimentales. Elles décloisonnent les frontières des différentes disciplines pour proposer des passerelles improbables, des mélanges inattendus, et fondre le tout en un dialogue fécond dans lequel sont invitées les formes les plus audacieuses. Cela engendre des espaces inhabituels, d’étranges combinaisons, qui sollicitent la diversité des créations et des questionnements des arts.

Photos

Vidéos

Photos

Dossier de presse

Au commencement il y a l’espace. Et aussitôt la mesure. À partir d’un point, à partir d’une ligne, à partir d’un centre. Sur cette ligne vont s’inventer une distance, un chemin….

Ici, dans le champ de l’art contemporain, l’artiste ATADJA LÈWA convoque en rhizomes la danse, la musique,
les mots… dans une performance qui interroge l’entour.

Dossier de presse

Au commencement il y a l’espace. Et aussitôt la mesure. À partir d’un point, à partir d’une ligne, à partir d’un centre. Sur cette ligne vont s’inventer une distance, un chemin….

Ici, dans le champ de l’art contemporain, l’artiste ATADJA LÈWA convoque en rhizomes la danse, la musique,
les mots… dans une performance qui interroge l’entour.

Crédits

Chorégraphie et interprétation : 

Ovide CARINDO

Natty MONTELLA

Myriam SOULANGES

 

Conception musicale :

James GERMAIN,
interprète, co-compositeur,

Fanswa LADREZEAU,
auteur-compositeur, interprète,

Marco QUESADA,
directeur musical, co-compositeur, arrangeur

Production déléguée :
VIVANTO

Coordination, relai de production :
Agence Artistik Rézo Caraïbes

 Régie sonore : 
Rodrigue AMIREILLE

Concept des costumes : 
ATADJA LÈWA, Idris OTENSSEN

Regard extérieur : 
Isabelle CALABRE

Auteur.e.s :
Ernest PÉPIN, Simone SCHWARZ-BART

Mèt a mannyòk, médiation en lien
avec les artistes les publics :
Mélissa MONZA

Réalisatrice-Droniste :
Fabienne ORAIN-CHOMAUD

Photographe & cadreuse :
Cynthia PHIBEL

Graphisme :
Éric MADELAINE

Web media, vidéo :
Nicolas MÉRAULT